Vacances à PLOUARZEL ?

Vous regardez où partir cet été ?

Vous ne voulez pas partir trop loin ?

Pourquoi pas la Bretagne ?

Plouarzel est un bourg qui se situe dans le département du Finistère et qui compte 3700 habitants pour 42,83 km².

C’est un endroit idéal pour les amoureux de la nature…

Les incontournables à visiter à Plouarzel sont :

  1. Le phare du Trézien

Du haut de ses 37,20 mètres, le phare de Trezien éclaire le large jusqu’à 32 km.

Érigé en 1894, il se dresse à 500 m du rivage.

La tour est tronconique et est peinte en blanc du côté de la mer pour servir d’amer.

Prenez votre temps pour gravir les 182 marches de l’escalier qui se faufile dans la tour de maçonnerie en pierres de taille en granit, provenant de l’Aber Ildut.

Il vous donnera accès à un formidable panorama.

Il émet une lumière blanche toutes les 3 secondes.

Depuis 1944, il se dit qu’un obus est enfoui au pied du phare de Trézien.

Le doute persiste encore aujourd’hui mais il est certain que la tourelle a échappé de peu à la destruction cette année-là.

L’adresse est : route du Phare, 132.

Le prix d’entrée est : gratuit pour les – de 5 ans, 2,50 € pour les 5 – 11 ans et 5 € à partir de 12 ans.

2. La pointe de Corsen

C’est la pointe la plus occidentale de la France métropolitaine en dehors des îles du Ponant.

Elle délimite théoriquement la Manche de l’Océan Atlantique.

Du sud au nord, vous y découvrirez un panorama sur la mer d’Iroise : les phares, les feux, l’archipel de Molène et l’île d’Ouessant.

Une table d’orientation permet de se repérer (des panneaux indiquent la direction de Paris… et de New York, à 5 375 km).

De nombreuses ballades sont possibles sur le sentier côtier faisant 12,20 km et longeant la mer.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

3. Le menhir de Kerloas

Datant d’environ 4000 ans, le menhir de Kerloas (bossu en breton) est, jusqu’à preuve du contraire, le plus haut mégalithe actuellement debout au monde.

Sa hauteur au-dessus du sol naturel est de 9,50 m.

Cependant, la hauteur originelle de ce monolithe était bien plus importante et devait dépasser les 10 m.

En effet, au XVIIIème siècle, il fut victime de la foudre qui en tronqua la partie sommitale et les principaux morceaux qui gisaient à son pied furent utilisés, l’un pour la fabrication d’une auge, l’autre comme pierre d’entrée de champ.

La circonférence du menhir, au niveau du sol, est de 6,20 m ; à 1,20 m de hauteur elle est de 6,70 m ; à 3,65 m elle est de 6,96 m, puis la pierre devient plus fine ; à 5 m, la circonférence est de 6,45 m et à 6 m elle passe à 5,95 m.

Le poids du menhir est estimé à 150 tonnes.

Il est surnommé le bossu, à cause de deux bosses qui se situent de part et d’autre du menhir.

Les deux saillies d’une trentaine de centimètres, étaient jadis l’objet d’un rite de fécondité.

Les nouveaux mariés venaient nus se frotter le ventre contre les bosses du menhir, la femme d’un côté, le mari de l’autre.

L’homme était certain d’avoir une descendance mâle, la femme de gouverner son époux à sa guise.

En 1911, Guénin rapporte également que le mégalithe était réputé avoir un pouvoir de guérison et que des malades venaient secrètement se frotter aux bosses du menhir dans l’espoir d’être guéris.

Ce même auteur nous apprend aussi que c’est une « bonne femme » qui l’apporta dans son tablier…

D’autres personnes l’attribuent à Gargantua qui le mit en place ainsi que tous les blocs de granit qui parsèment les champs de Plouarzel, pour se venger des habitants de la paroisse car ils ne lui avaient donné à manger que de la bouillie.

La légende dit aussi qu’un trésor serait caché, visible uniquement pendant la nuit de Noël.

Cette légende dit qu’au premier coup de minuit les menhirs couraient s’abreuver à l’océan.

Mais, lorsque sonnait le douzième coup, ils avaient déjà repris leur place, stoïques, immobiles, insensibles aux attaques du temps.

Et malheur aux imprudents qui, éblouis par les richesses dévoilées, avaient oublié l’heure; ils étaient écrasés…

Il est classé Monument historique depuis le 25 septembre 1883.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

4. La chapelle Saint-Eloi

Cette chapelle est située dans un cadre idyllique qui domine l’Aber-Ildut.

Il y a là une source, un calvaire et la chapelle elle-même dont le mur-clocher est flanqué d’un abri à offrandes doté d’une table et d’un banc en granite.

L’édifice date du XIXe siècle, mais il a remplacé une ancienne construction du XVIe.

Située à l’origine dans une propriété privée, elle a été donnée à la Fabrique en 1837. En 1855, c’est la fontaine qui fit l’objet d’un don analogue.

A l’entrée du site, le panneau apposé par la Communauté de communes indique que ce lieu est dédié à Saint Eloi, protecteur des chevaux.

Et en effet, la statue de Saint Eloi trône sur la façade de l’édifice, au-dessus du portail.

Coiffé d’une mitre d’évêque, le prélat tient en ses mains la pince et le marteau, attributs usuels d’un maréchal-ferrant.

Chaque année, le dernier dimanche de juin, le pardon des chevaux attire à la chapelle St-Eloi de nombreux fidèles.

Devant l’assistance, chevaux et cavaliers doivent effectuer plusieurs tours de la chapelle et leur propriétaire déposer une offrande dans l’aubette de la façade.

Puis ils se rendent à la source où les chevaux reçoivent sur le col et sur la croupe une écuelle de son eau.

Enfin ils doivent effectuer saut de Saint Alar par-dessus le ruisseau.

Alors que pour un humain ce franchissement s’effectue aisément d’un seul pas, il n’est pas évident pour le cheval qui doit effectuer ce bond.

Sainte Brigitte, à laquelle est dédiée cette fontaine, attribue, paraît-il, une généreuse descendance aux montures ayant triomphalement accompli leur saut.

Et grâce aux pardons annuels, il est réconfortant de voir que cette tradition, qui puise ses racines dans la nuit des temps, perdure encore de nos jours de manière bien vivante.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

5. Les carrières de l’Aber Ildut

Plusieurs panneaux explicatifs vous feront découvrir les carrières de granit le long de l’aber Ildut, la vie des hommes à cette époque, les outils et le travail du granit…

L’actuelle maison en ruine abritait une forge au rez-de-chaussée, où l’on confectionnait et réparait les outils de taille, ainsi que des bureaux à l’étage.

Les carriers exploitaient à l’arrière le versant du plateau descendant vers l’Aber Ildut, le long d’un front de taille formant une falaise d’une dizaine de mètres de hauteur.

Les pierres débitées et taillées sur place sous un hangar étaient ensuite transportées par voie maritime grâce au quai qui fait face à la maison en ruine.

De nombreuses gabarres à voiles de la région ont effectué ainsi pendant des années le transport du granite des carrières avoisinantes vers Brest ainsi que vers les ports de Bordeaux, Cherbourg, Le Havre, Rouen, Paris et Dunkerque.

Pendant la seule année 1905, on a dénombré 1215 navires dans le port de l’Aber-Ildut, qui ont chargé 45468 tonnes de granite.

Cette roche a aussi servi à la construction des quais de Londres. Elle fut un moteur pour toute l’économie locale pendant plusieurs siècles.

L’adresse est : Kerglonou.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

Sans oublier :

  • Le Guilliguy
  • La Chapelle Saint-Yves
  • L’Eglise Notre-Dame de Trézien
  • L’Eglise Saint-Arzel
  • Le colombier de Lanhalla
  • Le port de l’Aber Ildut
  • Le port de Lanildut
  • Le phare Saint-Mathieu
  • Le phare de Kermovan
  • La plage de Porsévigné
  • La plage de Porsman

De quoi passer de belles vacances !

Riz coco – choux de Bruxelles

Un mélange de féculents et légumes délicieux !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 1,5 kg de choux de bruxelles
  • 300 gr de riz basmati
  • 45 gr de chapelure
  • 3 cuillères à café d’ail en poudre
  • 60 cl de lait de coco
  • 3 citrons verts
  • 2 cuillères à soupe de graines de sésame
  • 2 poignées de coriandre
  • 1 gousse d’ail
  • 1 piment
  • 18 cl de crème de coco
  • 100 gr de noix de cajou
  • 5 cuillères à soupe de sauce soja
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Nettoyer les choux de Bruxelles et les couper en deux.
  • Les mélanger avec la chapelure, l’ail en poudre, un filet d’huile, sel et poivre.
  • Les faire cuire dans un four préchauffé à 220°C (Thermostat 7) pendant 25 minutes.
  • Dans une casserole, porter le lait de coco à ébullition avec 250 ml d’eau.
  • Y faire cuire le riz pendant 12 minutes.
  • Eplucher l’ail et le tailler grossièrement.
  • Epépiner et hacher le piment.
  • Au robot, mixer la crème de coco avec les noix de cajou, l’ail, le piment, la sauce soja et 100 ml d’eau.
  • Faire chauffer la sauce pendant 4 minutes dans un poêlon.
  • Incorporer le zeste d’un citron râpé au riz.

Conseil de présentation : Répartir le riz dans les assiettes, ajouter les choux de Bruxelles, napper de sauce, terminer avec les graines de sésame, la coriandre et des quartiers de citron vert.

N’hésitez pas à servir cela avec un morceau de poisson…

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 25 minutes
  • Cuisson : 45 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment être une fille sociable

Faites-vous partie des filles qui se font de nouvelles copines dès qu’elles mettent un pied dehors ?

Si oui, pas de soucis…

Si non, voici quelques conseils afin d’être une fille sociable et vous faire quelques copines :

  • N’hésitez pas à entamer une conversation avec quelqu’un que vous croisez régulièrement (cours de zumba, train, papa / maman du même club de foot que votre fils / fille).
  • Sortez en groupe : cela inspire plus de confiance à la personne avec laquelle vous allez entamer une conversation.
  • Acceptez les invitations où vous ne connaissez personne ou presque personne, cela vous obligera à vous diriger vers les gens (Job day, After work, …).
  • Acceptez les sorties : chacune est l’occasion de faire de nouvelles rencontres.
  • Provoquez les rencontres : n’hésitez pas à entamer une conversation avec la personne qui est devant ou derrière vous dans une file d’attente, à votre voisine de table au restaurant, …
  • Intéressez-vous aux autres : n’hésitez pas à vous intéresser à ce que fait la personne avec laquelle vous êtes en train de communiquer.
  • Souriez car le sourire ne coûte rien mais il provoque beaucoup pour la personne qui le reçoit et cela facilitera l’envie de cette personne de venir vous parler.
  • Osez vous montrer vulnérable : les plus belles amitiés naissent lorsqu’on ose se montrer telle qu’on est et inversément.
  • Ne vous mettez pas la pression : Plus on est obsédée par l’idée de se faire des ami(e)s, moins on y arrive ! Restez dans le naturel et le rapprochement va se faire en douceur.
  • Soyez patient : L’amitié prend du temps.

Prenez soin de vous !

Comment effectuer le travail du deuil ?

Perdre un proche n’est pas une chose facile…

Cela fait partie des étapes difficiles de la vie.

  1. Les 7 étapes du deuil
  • Le choc

Le choc est la première étape du deuil.

C’est le moment où on apprend le décès.

  • Le déni

Le déni est la seconde étape du deuil.

C’est le moment où vous ne voulez pas croire au décès de la personne.

Cette période est plus ou moins longue en fonction des personnes. Certaines personnes ne vont pas toucher aux affaires de la personne décédée durant plusieurs mois, d’autres vont directement les ranger ou les donner…

  • La colère

La colère est la troisième étape du deuil.

C’est le moment où on est en colère contre la personne décédée, contre soi ou contre les autres.

Cette colère peut se manifester via des mots, des gestes ou alors vous vous plongez dans un profond mutisme.

Vous vous reprochez ou aux autres de n’avoir rien pu faire pour empêcher cela (en cas de suicide par exemple).

  • La tristesse

La tristesse est la quatrième étape du deuil.

C’est le moment où vous vous demandez ce que vous allez devenir.

Cela peut amener à une dépression.

  • La résignation

La résignation est la cinquième étape du deuil.

C’est le moment où vous comprenez que la personne qui est décédée ne reviendra pas, qu’elle est partie pour toujours.

  • L’acceptation

L’acceptation est la sixième étape du deuil.

C’est le moment où vous acceptez la perte de la personne.

Vous vous concentrez sur les bons moments passés avec cette personne.

  • La reconstruction

La reconstruction est la septième et dernière étape du deuil.

C’est le moment où vous reprenez confiance en vous et où vous voyez un avenir sans cette personne.

2. Les 10 conseils pour faire son travail du deuil

  • Donnez-vous le temps d’accepter le décès d’un proche.
  • Acceptez de souffrir suite à cette perte.
  • Confiez-vous à votre famille ou vos amis pour dire ce que vous ressentez en mettant des mots sur vos sentiments.
  • Continuez à vivre, sortez avec votre famille ou vos amis pour penser à autre chose.
  • Soutenez ceux qui partagent votre douleur car eux aussi ont perdu ce proche.
  • Eloignez-vous momentanément des personnes qui ne comprennent pas votre tristesse.
  • Essayez de ne pas culpabiliser en vous disant que vous auriez dû faire plus de choses avec cette personne, …
  • N’hésitez pas à vous faire aider par un psychologue si votre deuil dure trop longtemps et que vous n’arrivez pas à faire partir la colère que vous avez en vous ou si vous n’arrivez pas à passer l’étape du déni.
  • Allez faire du sport, refaites la déco dans votre maison, devenez bénévole dans une association afin de vous vider la tête et penser à autre chose.
  • Le plus important, ne faites pas semblant d’aller bien…

Prenez soin de vous !

Tagliatelles al ragù

Une recette végétarienne simple et rapide !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 600 gr de tagliatelles
  • 600 gr de haché végétarien
  • 1,5 oignon
  • 3 gousses d’ail
  • 3 carottes
  • 3 branches de céleri
  • 5 cuillères à soupe de concentré de tomates
  • 45 cl de vin blanc
  • 750 gr de passata de tomates
  • 90 gr de parmesan
  • 1 bouquet garni
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Eplucher et émincer les oignons.
  • Eplucher et émincer les gousses d’ail.
  • Couper les carottes en dés.
  • Couper le céleri en dés.
  • Dans une poêle, faire revenir dans un peu d’huile l’oignon et l’ail pendant 5 minutes.
  • Ajouter les carottes et le céleri et laisser cuire pendant 15 minutes.
  • Ajouter le haché végétarien et laisser cuire pendant 7 minutes.
  • Ajouter le concentré de tomates et mélanger le tout.
  • Déglacer avec le vin blanc.
  • Ajouter le bouquet garni, la passata, sel et poivre.
  • Laisser mijoter pendant 1 h.
  • Pendant ce temps, faire cuire les tagliatelles dans une casserole d’eau bouillante salée.

Conseil de présentation : Répartir les pâtes dans les assiettes, verser le ragù, saupoudrer de parmesan et servir.

Petit conseil : Pour une version végane, remplacer le parmesan par du parmesan végan ou de la levure.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 20 minutes
  • Cuisson : 1h30 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Citytrip à HELSINKI ?

Au sud de la Finlande, la capitale Helsinki occupe une péninsule du golfe de Finlande.

Avec environ 674 000 habitants, elle est la plus grande ville de Finlande.

La ville a la plus forte population immigrée de tout le pays avec plus de 130 nationalités qui y résident.

Elle s’étale sur une presqu’île entourée d’un grand nombre d’îles et est fortement caractérisée par la présence de l’eau.

Helsinki est un port marchand ouvert sur le golfe de Finlande.

Les incontournables à visiter à Helsinki sont :

  1. Le Palais Présidentiel

Le palais a été achevé en 1845, bien que les réparations devaient être effectuées de temps en temps car il était principalement vide et n’était pas régulièrement chauffé.

Il a été visité pour la première fois par un membre de la famille impériale en 1851.

Le visiteur était le jeune héritier apparent Alexander Nikolayevitsh (plus tard le tsar Alexandre II).

Pendant le règne d’Alexandre II, le palais a eu son temps le plus brillant.

Le tsar visite la ville à trois reprises (1856, 1863 et 1876), séjournant chaque fois au palais.

Avec la mort d’Alexandre II est arrivé à la fin pour toujours des festivités impériales dans le palais.

Dans les conditions politiques aggravées de la Première Guerre mondiale, la résidence a été transformée en hôpital militaire du Sénat finlandais.

Le Palais présidentiel devint la résidence officielle de tous les présidents de Finlande en 1919.

Il possède des appartements privés et des salles de réception pour le président au troisième étage, dont différents salons et le cabinet de travail du président.

Le palais loge également les services de la présidence : le secrétariat général, les conseillers et la maison civile.

Les parties officielles du palais comprennent :

  • La salle de l’État
  • La salle à manger
  • La galerie des Glaces

Elles sont utilisées par le président pour ses fonctions officielles et les réceptions.

Il s’agit notamment de la cérémonie de promotion et de nomination des Forces armées et des cadets des Gardes-frontières, des banquets d’État, et de la réception donnée lors de la Fête de l’Indépendance.

L’adresse est : Mariankatu 2.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

2. La cathédrale Tuomiokirkko

La cathédrale se dresse, blanche et majestueuse, en haut des escaliers de la place du Sénat.

Sa construction a débuté en 1830 pour s’achever en 1852, sous les ordres de Ernst Bernhard Lohrmann, le successeur de Engel.

Il bâtit quatre petits dômes pour rappeler le modèle cathédrale Saint-Isaac de Saint-Pétersbourg.

Ernst Bernhard Lohrmann érige aussi deux clochers et des statues des Douze Apôtres.

L’intérieur sobre, murs blancs et bancs en bois, met en valeur l’orgue incurvé.

Le retable est peint par Carl Timoleon von Neff et offert à la paroisse par Nicolas Ier.

La crypte de la cathédrale est rénovée dans les années 1980 par Vilhelm Helander et Juha Leiviskä.

L’adresse est : Unioninkatu 29.

Le paiement de la visite est volontaire.

3. Le musée Kiasma

Logé dans un magnifique édifice conçu par Steven Holl et achevé en 1998, le musée abrite des collections d’art contemporain.

Le musée Kiasma se distingue par son engagement à repousser les frontières traditionnelles des musées d’art plus classiques, en mettant en avant l’originalité dans le choix de ses expositions.

Chaque année, il enrichit sa collection de près d’une centaine d’œuvres, aussi bien nationales qu’étrangères.

La salle X met en lumière les créations les plus récentes, tandis que la section Printti met l’accent sur les arts graphiques.

Au rez-de-chaussée, vous trouverez aussi un café-restaurant très plaisant.

Le musée Kiasma propose également une salle de spectacle où sont régulièrement présentés des événements liés aux diverses formes contemporaines des arts du spectacle, comme la danse, le théâtre et la musique.

L’adresse est : Mannerheiminaukio 2.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans et 20 € pour les 18 ans et +.

4. La cathédrale orthodoxe Ouspenski

Sur l’île de Katajanokka s’élève ce superbe héritage de la domination russe : la cathédrale orthodoxe Ouspenski.

Massive pièce monté de brique rouge aux toits vert-de-gris coiffés de clochetons dorés, qui offre un contraste saisissant avec la blancheur de la cathédrale luthérienne.

Elle date du milieu du XIXe siècle et est une création de l’architecte Alexis Gornostaiev.

Sur ordre de l’empereur Alexandre II de Russie, souverain du Grand-Duché de Finlande, elle est construite entre 1862 et 1868, année de sa consécration.

Elle est dédiée à la Dormition de Marie mère de Dieu (ce qui dans l’orthodoxie, correspond à l’Assomption de la Vierge du catholicisme).

Elle reflète également la tolérance des Finlandais à l’égard des autres croyances.

Avec l’orientation de l’axe principal vers l’est et les tours bien visibles, la cathédrale d’Uspenski présente des caractéristiques typiques des édifices religieux orthodoxes.

Il en va de même pour l’aménagement de l’intérieur de l’église : Il n’y a ni bancs ni chaises, mais l’ensemble de l’espace est très magnifiquement meublé.

Quatre colonnes en granit massif soutiennent le dôme principal, qui est conçu comme un ciel étoilé.

De nombreuses mosaïques colorées décorent les murs intérieurs.

Les icônes, les peintures religieuses et les sacrements dorés sont également typiques d’une église orthodoxe.

L’adresse est : Pormestarinrinne 1.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

5. La forteresse de Suomenlinna

Construite dans la seconde moitié du XVIIIe siècle par les Suédois sur un groupe d’îles situées à l’entrée de la rade d’Helsinki, la forteresse constitue un exemple particulièrement intéressant de l’architecture militaire européenne de l’époque.

Les travaux ont été supervisés par l’amiral suédois Augustin Eherensvärd (1710-1772), qui a adapté les théories de Vauban aux caractéristiques géographiques très spécifiques de la région.

Le paysage et l’architecture de la forteresse ont été façonnés par plusieurs événements historiques.

Elle a servi à défendre trois états souverains différents au fil des ans : le Royaume de Suède, l’Empire Russe et plus récemment la République de Finlande.

Couvrant une superficie de 210 ha et se composant de 200 bâtiments et 6 km de fortifications, la forteresse s’étire sur six îles distinctes.

La forteresse originale a été construite en utilisant la roche locale et fortifiée à l’aide d’un réseau de bastions sur un terrain varié.

Après l’accession de la Finlande à l’indépendance en 1917, la forteresse fut renommée Suomenlinna (ou Forteresse de Finlande) et servit de garnison et de port.

Le rôle militaire de la forteresse déclina après la Deuxième Guerre mondiale et, en 1973, la zone fut convertie à un usage civil.

Aujourd’hui, Suomenlinna est une des attractions touristiques les plus populaires de Finlande et constitue un district d’Helsinki avec 850 habitants.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

Sans oublier :

  • Kansallismuseo, le musée national finlandais
  • L’église de Temppeliaukio
  • Le musée du Design
  • Le musée zoologique
  • Sibelius Park
  • Le parc national de Nuuksio
  • L’ateneum
  • Le marché de Hakaniemi
  • La Plage de Hietaniemi
  • Les saunas de bord de mer
  • Le Design District : quartier contemporain
  • Old Market Hall
  • The Esplanadi Park
  • Croisière touristique sur les canaux
  • Visite en bus de la ville

De quoi passer un bon citytrip !

Parmentier lentilles céleri-rave

Une revisite végétarienne du hachis parmentier !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 750 gr de pommes de terre
  • 3/4 céleri-rave
  • 3 carottes
  • 200 gr de lentilles précuites
  • 4 oignons doux
  • 30 cl de vin blanc
  • 600 gr de dés de tomates en boîte
  • 3 cuillères à soupe de feuilles de thym frais
  • 3 cuillères à soupe de persil frisé
  • 3 cubes de bouillon de légumes
  • 120 gr de fromage râpé
  • Beurre
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Eplucher les pommes de terre et les couper en morceaux.
  • Eplucher le céleri-rave et le couper en morceaux.
  • Faire cuire les pommes de terre et le céleri-rave dans une casserole d’eau bouillante salée pendant 25 minutes.
  • Les égoutter et les écraser en purée avec une noix de beurre, sel et poivre.
  • Peler les carottes et les couper en dés.
  • Rincer et égoutter les lentilles.
  • Eplucher et émincer les oignons.
  • Dans une poêle, faire revenir les oignons dans du beurre pendant 5 minutes.
  • Réserver la moitié pour la finition.
  • Ajouter dans la poêle les dés de carottes et le thym et faire revenir pendant 4 minutes.
  • Déglacer avec le vin blanc et un filet d’eau.
  • Laisser réduire de moitié.
  • Ajouter les dés de tomates.
  • Ajouter les cubes de bouillons émiettés et laisser mijoter pendant 8 minutes.
  • Ajouter les lentilles et prolonger la cuisson pendant 10 minutes, saler et poivrer.
  • Dans un plat allant au four, verser le mélange de lentilles.
  • Recouvrir de purée.
  • Ajouter les oignons réservés.
  • Parsemer de fromage râpé.
  • Faire cuire pendant 25 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6).
  • Décorer avec du persil frisé ciselé.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 20 minutes
  • Cuisson : 1h15 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment percevoir la douleur

Certaines personnes pleurent pour une égratignure, d’autres font à peine attention aux plaies ou aux bosses…

D’où vient cette différence de perception de la douleur ?

Elle peut venir de plusieurs facteurs :

  • Une partie de la sensibilité à la douleur est héréditaire
  • De l’humeur : une personne stressée et énervée ressentira plus la douleur.
  • De l’âge : les personnes âgées font moins attention à la douleur mais la tolèrent moins que les jeunes.
  • Du sexe : les femmes supportent mieux la douleur que les hommes.
  • De la qualité du sommeil : les personnes qui font de bonnes nuits avec un sommeil réparateur ressentent moins fort la douleur.

Souvent, on utilise une échelle de la douleur pour déterminer notre douleur.

Cette échelle va de 0 (pas de souffrance) à 10 (souffrance la plus intense).

Les spécialistes font la différence entre le seuil de perception de la douleur et la tolérance à cette dernière.

Le seuil de perception désigne le moment à partir duquel une personne à l’impression que la douleur devient de plus en plus forte.

La tolérance à la douleur désigne le moment où la douleur deviendra insupportable pour la personne.

Il existe aussi les douleurs fantômes qui concernent 60 à 80 % des personnes dont une partie du corps a été amputée.

En effet, certaines personnes ont parfois mal à un bras, à une jambe ou à un pied alors que cette partie de leur corps a été amputée.

Il y a quatre groupes de personne pour la gestion de la douleur :

  • Le groupe un va éviter de faire quelque chose qui pourrait lui faire ressentir des douleurs atroces.
  • Le groupe deux va réprimer les symptômes en persévérant.
  • Le groupe trois va « oublier » la douleur en faisant autre chose quitte à aggraver la douleur.
  • Le groupe quatre va trouver le bon équilibre entre douleur et repos lorsqu’ils font une activité physique par exemple.

Il est important de consulter votre médecin si la douleur est chronique et pas due à un exercice physique.

Prenez soin de vous !

Comment passer une bonne Saint-Valentin ?

Demain c’est le 14 février, la fête des amoureux et vous ne savez pas comment faire pour que votre partenaire aie une journée spéciale ?

Alors voici quelques conseils pour lui faire plaisir :

  1. Lui préparer un petit déjeuner au lit

N’hésitez pas à aller lui préparer un café, chercher les croissants ou les pains au chocolat à la boulangerie, lui préparer un plateau avec un jus de fruits et lui apporter au lit. Réveillez-le/la en douceur avec cette surprise. Il/Elle appréciera et fera démarrer la journée du bon côté.

2. Lui préparer un dîner aux chandelles

Rentrez du travail avant lui / elle afin de lui préparer son plat préféré. Mettez les petits plats dans les grands en lui dressant une belle table. Mettez une belle nappe, de la belle vaisselle, des fleurs sur la table et allumez des bougies. Faites de ce dîner un moment romantique.

3. Lui faire couler un bain

N’hésitez pas à lui faire couler un bon bain moussant pour qu’il / elle se détende de sa journée de travail. Disposez quelques bougies le long de la baignoire et parfumez la pièce d’un doux parfum d’intérieur. Si vous voulez que ce moment soit plus romantique, vous pouvez mettre quelques pétales de roses dans l’eau, cela a son petit effet !

4. Lui faire un massage

Pas besoin d’aller chez un professionnel pour avoir un massage relaxant. Allumez des bougies, mettez une musique douce et ayez une bouteille d’huile de massage à proximité. Recouvrez votre lit d’un grand essuie et invitez le/la à s’allonger. C’est une excellente introduction pour ensuite passer à un moment plus intime !

5. L’emmener au resto…sans quitter la maison

Cette année, avec la crise énergétique, vous n’avez pas les moyens de l’emmener au restaurant mais vous voulez quand même marquer le coup. Alors n’hésitez pas à commander un menu chez un traiteur avec entrée, plat et dessert. Régalez vous en amoureux à la maison !

6. Lui offrir un petit cadeau

Pas besoin de casser votre tirelire pour lui faire plaisir. Une déco qu’il / elle aime beaucoup, un t-shirt, un pull ou un parfum. C’est le geste qui compte… Comme cela vient de vous, il / elle appréciera encore plus l’attention !

7. L’emmener en « voyage » surprise

Vous ne devez pas spécialement partir loin ni longtemps. Une seule journée peut suffire. Le but est de vous évader et de sortir de votre routine quotidienne et de profiter d’un moment à deux. Essayer de garder l’endroit secret le plus longtemps possible, l’excitation n’en sera que plus grande !

8. Lui faire livrer un cadeau au bureau

Faites livrer à votre femme un bouquet de fleurs et/ou une boite de chocolat au bureau afin de lui montrer que vous pensez à elle même si vous avez beaucoup de travail de votre côté.

Faites livrer à votre mari une bouteille de champagne avec deux verres et dites-lui que vous la boirez ensemble ce soir.

Il/Elle sera content(e) que vous ayez pensé à lui / elle.

9. Lui organiser un pique-nique romantique

Faites des salades de pâtes, de riz, des sandwichs garnis, du saucisson, tout ce qu’il / elle aime et aménager un lieu original où vous pourrez partager ce repas.

S’il fait froid, cela peut être organisé dans votre salon ou même dans la voiture si vous faites cela sur votre temps de midi.

S’il fait bon, cela peut être organisé sur un banc, dans un parc, …

10. Improviser une balade

Profitez de cette journée pour vous promener en amoureux et prendre un bon bol d’air. Si vous travaillez, n’hésitez pas à consacrer un jour de votre weekend pour passer la journée rien que tous les deux. Il y a plein de belles balades à faire en Belgique. Privilégiez la nature au musée !

Passez une bonne fête de Saint-Valentin !

Lasagne de raviolis

Une recette originale délicieuse et facile à faire !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 600 gr de raviolis frais fourrés
  • 3 oignons
  • 4 gousses d’ail
  • 600 gr de tomates pelées en dés
  • 300 ml de vin blanc sec
  • 2 cubes de bouillon de légumes
  • 475 gr de ricotta
  • 375 ml de crème épaisse
  • 300 gr de mozzarella râpée
  • Quelques feuilles de basilic frais
  • 1 cuillères à soupe d’origan séché
  • 5 cuillères à soupe d’huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Hacher les oignons.
  • Hacher les gousses d’ail.
  • Faire revenir les oignons dans une poêle huilée.
  • Après 5 minutes, ajouter l’ail haché et laisser cuire pendant 3 minutes.
  • Déglacer avec le vin blanc, 500 ml d’eau et les 2 cubes de bouillon.
  • Ajouter les tomates en dés.
  • Assaisonner avec l’origan, le poivre et le sel.
  • Laisser cuire à feu doux pendant 25 minutes en remuant régulièrement.
  • Cuire les raviolis dans de l’eau salée jusqu’à ce qu’ils soient tendres.
  • Dans un poêlon, mélanger la ricotta avec la crème, du sel, du poivre et le basilic haché.
  • Dans un plat allant au four, déposer une couche de raviolis.
  • Etaler 1/4 de sauce tomate par-dessus et 1/4 de sauce ricotta.
  • Saler, poivrer et saupoudrer de 1/4 de fromage râpé.
  • Répéter les couches 3 x.
  • Faire cuire pendant 30 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6).
  • Décorer avec des feuilles de basilic.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 10 minutes
  • Cuisson : 60 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !